
Le week-end dernier la marque Hyundai m’invitait à découvrir quelques-uns de ses modèles et à me familiariser avec son univers. Une totale découverte pour moi, et au finale une excellent surprise voir même un coup de cœur pour une de ces voitures. Direction l’Ardèche et son paysage à couper le souffle pour rouler coréen.
HISTOIRE
Chung Ju-yung, fondateur de Hyundai, est né dans le village d’Asan, dans le nord du pays. Il est l’aîné d’une fratrie de 7 ans, sa famille est très modeste et il doit travailler pour aider la famille à s’en sortir.
A Séoul il enchaîne les emplois, dans le bâtiment, le transport maritime puis le commerce de riz. Un business très lucratif et florissant. Après plusieurs années Chung Ju-Yung crée un service de réparation de véhicule, capable d’entretenir plus de voitures, plus vite que ses concurrents.

Au début des années 1950, la Corée est en guerre. C’est une période de bouleversement économique et politique, qui rend quasi impossible le moindre investissement. Chung Ju-yung veut participer à la reconstruction du paye. Il crée Hyundai Civil Works en 1947 puis Hyundai Construction Company en 1950. Hyundai signifie « Modernité » en coréen, tout un programme…
C’est ainsi qu’il crée Hyundai Civil Works en 1947, qu’il fusionne par la suite pour donner naissance à Hyundai Construction Company en 1950.
Le premier édifice que va reconstruire Hyundai est le pont Goryeong, un pari réussi malgré le manque de qualification dans le domaine. Le Pont est rapidement construit et la marque se voit confier la construction des infrastructures routière du pays. Hyundai se lancera ensuite dans la construction du barrage Soyang puis le ferroviaire pour devenir un acteur essentiel voir incontournable de la construction coréenne.
Chung Ju-yung ne veut pas s’arrêter là et souhaite faire grandir son pays en développant son activité à l’international. Il décide alors de construire des bateaux pour transporter les produits coréens dans le monde entier. Une aubaine pour les nombreuses marques en développement qui pourront ainsi conquérir le monde.
Second véhicule en essai : Hyundai Ioniq Hybride
Ce Prius Killer est arrivé depuis quelques années sur la marché et vient de subir un léger restylage. Avec un cx de 0,24 et son look beaucoup plus agréable que sa concurrente nippone. La Ioniq séduit dès la porte ouverte par son habitacle accueillant et la qualité de fabrication. L’équipement est complet et la position de conduite invite au voyage, qu’il soit urbain ou extra-urbain.
Sur route la Ioniq surprend par son comportement sûr et son moteur volontaire bien aidé par l’électrique dès que cela se gâte. La Ioniq est, elle aussi, équipée de la boîte double embrayage qui lui assure une prise en main rapide et un agrément de conduite indéniable. Mais là également, il faudra attendre l’essai longue durée prévu très vite pour en savoir un peu plus. Toutefois je dois vous avouer que j’ai eu un véritable coup de cœur avec Ioniq que j’ai adoré mener dans les gorges de l’Ardèche. Une auto à la conduite tout à fait conventionnelle et un système hybride qui invite à l’économie de manière presque ludique en fait. Une bonne surprise !
Wait and see…